La meilleure saison pour un européen est novembre-janvier : tempéré (18° à 31°), pas ou peu de moustiques.
J’avais peiné à trouver à Paris des t-shirts pour faire des cadeaux à une saison où, ici, on ne trouve que des doudounes. Surprise, à Bamako et ailleurs au Mali, les maliens portent des anoraks toute la matinée !
La pire est le "printemps malien", mars-avril-mai (mais parfois dès février), pénible pour les maliens eux-mêmes.
Pour nous trois, quinquas français, c’est surtout la première semaine d’adaptation qui fut difficile : même en décembre nous cherchions le ventilateur et n’hésitions pas à essayer la clim quand elle était par miracle proposée.
Attention : la température varie, soyez prudent : n’allez pas attraper la mort en dormant à la belle étoile sur une pinasse au milieu du fleuve (beaux voyages Mopti-Tombouctou), ou sur une terrasse ("campements" en pays dogon) : couverture ou sac de couchage confortable recommandés !