Ces quelques photos prises avec un portable ne sauraient remplacer l’expérience que l’on peut avoir devant ces magnifiques tirages de très grandes dimensions, qui n’ont rien à envier aux peintures des grands classiques que l’on pouvait trouver autrefois dans ce genre de décor ! Les étudiant(e)s en droit avaient bien de la chance, et matière à penser à propos de leurs futures responsabilités,... j’espère qu’ils et elles auront apprécié !
Si vous avez aimé, poursuivez la visite sur le site http://fatoumatadiabate.com
Dans ce projet Fatoumata Diabaté rend hommage aux victimes des exactions commises à Ogassodougou, village dogon détruit le 23 mars 2019, où la population entière fut brûlée vive. Munie de la seule arme qu’elle possède, son art, Fatoumata Diabaté nous transporte dans cet « espace victime » et témoigne de la souffrance liée à ce massacre. A travers l’utilisation de la poterie, elle confronte la durabilité de cet objet du quotidien, « brûlé » pour être solidifié, à l’assassinat des habitants, tués par le feu. Elle aborde cette série comme un réel témoignage, exprimant à la fois violence et résistance. (Présentation "Photo days")
Sur le sujet des potières et des poteries, voir sur notre site (vidéos) :
– Les Potières du Fleuve Niger - 2-KALABOUGOU (en particulier la scène du grand feu)
– Les Potières du Fleuve Niger - 1-MOPTI
– Les Potières du fleuve Niger - 3-SÉGOU / FARAKO
– Expo Sèvres et L’ATELIER DE KALABOUGOU